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andregobenceaux@gmail.com

Quand et pourquoi ce nom est apparu? Son Histoire commence bien avant que ce lieu-dit n'en porte le nom.

FOSSILES - FAUNEdu PALEOZOIQUE en SARTHE

        FOSSILES

               en

                        SARTHE 

 

 ACANTHOPLEUROCERAS MAUGENESTI - a été définie par HYATT en 1900

 

 

     FOSSILES - PALEONTOLOGIE               

 

GEOLOGIE dans la SARTHE

 

Rebord oriental du relief du Massif Armoricain, dénommé  « Alpes Mancelles »

 

                                                                                                 par André Gobenceaux

                                                                  A.P.V.M.  1980 

 

          

Région concernée,

 

Géologie Nord-est Mayenne, est commune à celle du Nord-ouest de la Sarthe. ( Massif de Pail, pour la Mayenne ; Île de Perseigne, Alpes Mancelles, Massif Silléen, pour la Sarthe ; Coëvrons et Charnie en commun ).
La région concernée, est placée à l’extrémité Est - Orientale, du très vieux Massif Armoricain, formé de schistes gréseux, et de quelques carbonates. La géologie de la partie Nord-ouest et Ouest de la Sarthe, qui côtoie à la partie Nord-est et Est du département de la Mayenne, appartient à l’extrémité de la frange Orientale du Massif Armoricain.  Assez largement représentés dans l’Ouest de notre département, les affleurements du Cambrien sont formés de schistes plus ou moins gréseux. Fortement plissée, cette succession de petites collines constituent un paysage d’ondulations bocagères, incisées de dépressions où s’échancrent les petites vallées du Merdereau, la Vaudelle l’Orthe, et l’Erve, pour celles que nous avons le plus fréquentées.  Cette région qui s’allonge Nord-Sud des Alpes Mancelles, à La Charnie, a connu au cours des quelques centaines de millions des dernières années, un incessant ballet de tectoniques des plaques, qui a marqué la séparation du Massif de Perseigne, du Massif continental d’Ecouves, faisant de Perseigne, une véritable « île » isolée dans les mers du Mésozoïque et du Crétacé, la formation de l’arc, constituant le «  golfe d’Alençon, et la Alpes Mancelles ». Complètement émergée, la plaque Armoricaine subit de plein fouet l’importante érosion continentale. Lors de la formation du « flysch briovérien », entre -585 et - 540 M.a. ; la formation détritique essentiellement constituée de « grès » qui procédé à mla constitution du relief précité Massif de Perseigne - Alpes Mancelles - Massif  Silléen - Coëvrons - La Charnie ; et de schistes Saint-Georges-le Gaultier - Saint-Germaine-de-Coulamer - Parennes et quelques autres, atteignant par endroits plusieurs milliers de mètres d’épaisseur.

                                   

André Gobenceaux auteur et collectionneur.

 

Pourquoi, cette intérêt ?

Lorsque que j’ai écrit les premières lignes sur la préhistoire, celle que j’avais découverte lors de mes 26 années de résidence dans la région des Coêvrons - Massif Silléen ; j’ai constaté que mes trouvailles venaient corroborer ce qui subsistait de ma formation universitaire.
 Les suites géologiques ont considérablement favorisées l’étude des terrains visités, et dévoilé partiellement une part du passé.

                                                                           André Gobenceaux
                                                                           A.P.V.M.  1980 

 

LITHOTHEQUE  

 

Une lithothèque n’est pas, et ne sera jamais un musée. C’est complètement différent , voir diamétralement opposé. Une lithothèque n’est pas étalage et encore moins un déballage de fossiles,  de pièces rocheuses hétéroclites venus d’ailleurs. C’ est un lieu où sont sélectionnés, non par la quantité, mais plus exactement par la qualité, et les caractéristiques  des échantillons de roches, des spécimens minéraux, des pièces fossilisées et silicifiées. C’est avant tout, un endroit de culture et sciences, respectent scrupuleusement les règles de Membres de l’Association de Paléontologie de Villers-sur-Mer depuis 1981.

Vitrines meublant l'un des pans du mur du local : Lithothèque

Sous un autre angle.

 

* - LITHOTHEQUE
n. f.  - lith (o)- lith (e)- nom formé du grec : litho signifiant pierre ; et de téké précisant boite - armoire - lieu où sont rangés dans un certain ordre des collections de pierres ( minéraux - cristaux - fossiles - etc. ).

 

PALEOZOÏQUE
( Ère Primaire )
de 541,o +/- 1,0 à 252,2 +/- 0,5 M.a.

n. m.  - a été défini par J. PHILLIPS en 1818, du préfixe grec : palaeo - paléo - palaios signifiant ancien - 1ère orthographe utilisée dans les mots latin ou latinisés, et les mots de vieux français  et du grec ;  zôon précisant animal.

Le Paléozoïque se subdivise en six périodes,

CAMBRIEN de -541,oo +/-1,0 à485,4 +/-1,9 M.a. n. m.  - a été défini par A. SEDGWICK en 1835 - de Cambria, nom latin du Pays de Galles - Angleterre.

ORDOVICIEN de 485,4 +/-1,9 M.a. à 443,4+/-1,5 M.a. n. m.  - a été défini par Ch. LAPWORTH en 1879 , dérive de Ordovices, anciennes tribus gauloises occupant le Pays de Galles - Angleterre.

SILURIEN de 443,4+/-1,5 à 419,2 +/-3,2  M.a. n. m.  - a été défini par R. I. MUTCHINON en 1835, en référence à une ancienne peuplade : les Silures en Pays de Galles.

DEVONIEN de 419,2 +/-3,2   à  358,9 +/- 0,4 M.a. n. m.  - a été défini par A. SEDGWICK ET R.-I. MURCHINSON en 1839, en référence au DEVONSHIRE.

CARBONIFERE de  358,9 +/- 0,4 à 298,9 +/-0,2 M.a.   n. m.  - a été défini par W. D. CONYBEARE en 1882 - du latin :  cargo- onis signifiant charbon, et ferre précisant porter par les terrains ( correspondants sont fréquemment riches en houille

PERMIEN de 298,9 +/-0,2 à 252,2 +/-0,5 M.a n. m. - a été défini par R. I. MURCHISON en1841 - de Perm en Russie ; en anglais : Permian - dernière période du Paléozoïque.

 

GRANDES ETAPES du PASSE, 
de l’extrémité ORIENTALE du   
     « MASSIF ARMORICAIN »

VOLCANISME

Le magmatisme cadomien dans le domaine mancenillieN chiffré entre -650 et - 550 M.a.avant notre ère. Il s’agit de l’âge initial des matériaux qui forment le bâti de notre région, repris dans l’orogenèse hercynienne.

Une étude a été réalisé en 1969 et 1974, par BOYER, sur le volcanisme du Cambrien de -541 +/- 1,0 à -485,4 +/-1,9 M.a. dans le Bassin des Coëvrons ; en 1971 par Le GALL . L’examen des rapports sur les RHYOLITES et les CINERITES de la carrière de Voutré,  sur le POPHYRE de la carrière de SILLE les KETAPORPHYRE du Massif de PAAIL-le-GUILLAUME, et des KERATOPORPHYRE du Massif de PAIL.

* - RHYOLITES ou PORPHYRE - c’est une roche volcanique felsique ( chargée en feldspath et en silicate ) - définie par GERHARDT en 1815 - la RHYOLITE  dérive de l’OBSIDIENNE dont la partie vitreuse a été recristallisée en un un fIn assemblage fibreux de FELDSPATH. 

* - KERATOPORPHYRE - n. m. - du grec : kératose signifiant corne , et de porphyre précisant une roche magmatique effusive hydropneumatique de composions chimique de trachyte sodique.
L’activité intense au Cmbro-Silurien.

L’activité volcanique intense au Cambro-Trémadocien, vers -485,4 +/-1,9 à-477,7 +/- 1,4 M.a., ( défini par SEDGWICK en 1846 ), du  Massif d’Ecouves/ Perseigne aux Coëvrons, a provoqué les déformations du relief facilitant l’accentuation du Massif Silléen, et du Mont Rochard, et du Mont Aigu. Cette zone volcanique placée extrêmité Est du Massif Armoricain constitue une bande s’étendant de La Charnieà  la région de Sées, fmarge Orientale du continent arasé de La Mancellia,,et créant un domaine épicontinentale ( l’actuel département de la Sarthe ).

La carrière de Voutré ( 53 ), est ouverte sur le flanc Nord des Coëvrons, s’appuyant sur un puissant complexe de pyroclastites acides d’une accumulation et de cendres de débris de roches magmatiques éjectés de volcans souvent sous la forme de nuées ardentes. Cette masse imposante s’appuie sur le Grés Armoricain ( grés feldspathiques  d‘une puissance de 150 mètres )

Les SCHISTES affleurant à  Saint Georges-le-Gaultier ( 72 ) - à Saint Germain-de-Coulamer (53 ) et à Prennes ( 72 ), s’étant formé il y a approximativement -430  M.a. 
L’étude des roches, permet de déterminer, un volcanisme acide au début du CARBONIFERE, c’est-à-dire vers -330 à 336 M.a. La déformation de la croûte terrestre se produite par des soulèvements verticaux et des mouvements tangentiels horizontaux, qui produisent des plissements et des charriages. Ces événements, sont accompagnés de transgressions marines du Pré-cambrien, généralement peu profondes sont 

 

* - CROÛTE TERRESTRE
Les éléments les plus courants dans la «  Croûte terrestre », sont : l’oxygène = 46,6 % ; le silicium = 27,7 % ; l’aluminium = 8,1 % ; le fer = 5% ; le calcium =3,6 % ; le potassium = 2,8% ; le sodium = 2,8% ; et le magnésium = 2,1%.

Le mécanisme de la condensation du tourbillon terrestre, a donné la possibilité à Émile Belot, d’étudier, et de connaître le mécanisme de sources de la chaleur du globe terrestre dès sa naissance. Cette chaleur d’origine protocolaire.

* - PROTOSOLEIL - était une étoile géante dont le rayonnement équatoriale équivalit à 62,3 fois le soleil actuel, sa totation rapide était de 5 jours, la Terre en serait l’une des émanation.

L’énigme sur le volcanisme dans  extrémité Orientale du Massif Armoricain, évoque l’existence de multiples fractures dans la croûte terrestre, provoquées par les mouvements ascentionnels du magma. Ces  fissures diversement importantes, permettant à l’eau de s’infiltrelobe terrestrer, de se transformer en vapeur, et de générant des pressions colossales faisant littéralement exploser la faible épaisseur de cette croûte. De cette ouverture  faisant s’épancher des flots de laves - matérieuwx en fusio,s’épancha,t à l’extérieur

 

 

BRECHE VOLCANIQUE - Brèche à ciment de cendre et de lapilli, et à fragments de roches de magmas volcaniques, avec parfois des débris des couches encaissantes.

* - LAPILLIS - matériau pyroclastique de 2 à 6,4 mm.

EMPILEMENTS SUCCESSIFS de COUCHES de PROJECTIONS PYROCLASTIQUES. - Affleurements visibles dans les Coëvrons, en deux endroits différents.

 

SOL SARTHOIS

celui sur lequel nous déambulons au quotidien.

SOUS SOL SARTHOIS

ignoré, parce que pratiquement inconnu.

 

Notes

* - Fossilisation
s. f. - phonétique : fo-si-li-za-si-on - radical : fossiliser - Ensemble des processus qui conduisent à la conservation des objets dans divers sédiments. Processus naturel, concernant le remplacement intégral, et à l’identique des éléments organiques d’un être mort, par des éléments minéralux, 


* -Fossile
Adjectif - phonétique : fo-si-le - du latin : fossilis signifiant extrait de la terre ; de fossum, pour fodsum de fore précisant : fouir, qui se rapporte à la racine sanskrit :budh définissant : creuser.
  
* -  Géologie
s. f. - phonétique : jé-o-lo-jî - du grec : gé signifiant : terre, et logos précisant : discours - Science qui a pour but la connaissance des éléments qui composent le globe terrestre, de leur nature, de leur situation relative et des causes qui ont déterminé cette situation. La géologie nous explique également les transformations diverses dont la terre a été l’objet.

* -Lithothèque
n. f.  - lith (o)- lith (e)- nom formé du grec : litho signifiant pierre ; et de téké précisant boite - armoire - lieu où sont rangés dans un certain ordre des collections de pierres ( minéraux - cristaux - fossiles - etc. ).

* - Minéralogie
n. f.  - de l’anglais minéral, qui se rapporte aux corps inorganiques.

* - Paléontologie
s. f. - phonétique : pa-lé-on-to-lo-j - du préfixe grec : paléo signifiant : ancien , dérivant du grec :palaios même sens; et du grec : ôn = être ; logos = discours . 
Partie des Sciences Naturelles des fossiles, des êtres organisés aujourd’hui disparus de la surface de la terre.

                             

 

Ecoulementd’ambre, et moustique prisonnier 
 

Deux empreintes datées : antérieures au Cambrien soit 540 M.a.

Empreintes laissées par des créatures indéterminées, antérieures au Cmbrien - 540 M.a (Précambrien ).

Terres émergées au Cambrien

Bien que le Cambrien sarthois, soit très épais de plusieurs milliers de mètres et couvre environ 20.000 hectares, s’étendant dans le Massif insulaire de Perseigne, et se prolongeant dans la refief au Nor et au Sud d Sil-le-Guillaume, en concordance avec les strates du Silrurien ;  caractérisés par des PHYLLADES.

PHYLLADES - ROCHE METAMORPHIQUE se débitant par tablettes.

SCOLITHES a été défini par LATREILLE en 1804

embranchement : Arthropodes

classseInsectes

ordre : Coléoptères

famille : Curculionidae

BRYOZOAIRES SPO

embranchement : Métazoaires

classse : Ectoproctes

ordre : Zoïdes

famille : Spra -aniamux-mousse

BRYOZAOIRES  - CELLOPORIA PALMATA

SUCOCYSTIS THERONENSIS a été défini par THERMIER et THERMIER en 1909

embranchement : Echinodermes

classse : Echinoïdes

ordre : Sucotidaz

famille : Sucosystidès

LINGULA LESEUERI a été défini par DAVIDSON & GILLIER  en 1881
embranchement : BRACHIOPODES
classe : Inarticlés
ordre  : Atrémates
familles : Linguilidae

 

Les terrains sédimentires débutent et s'étendent dans notre département sur plusieurs milliers de mètres d'épaisseur.

Le SCHISTE ARGILEUX en  tant que ROCHE SEDIMENTAIRE typique, est clairement stratifiée, et peut-être plissée.

Représenté aux ardoisières de Parenne, et  de Saint Georges-le-Gaultier dans le Massi Silléen par des SHISTES ARGILEUX, des bancs de GRAUWACKE, et des filons de QUART.

 

 

SCHISTE ARDOISIER dit de PARENNES - roche sédimentaire,, c'est une «  boue lithifiée », composée principalement de frain d'argile et de limon.

Sol d'une partie de l'ARDOISIERE de PARENNES.

 

GRAUWACKE - C'est une roche sédimentaire - ce type de roche représente approximativementde 10 à 20ù de la coposition terrestre. Roche de coleur sombre rougeâtre ou roussaâtre - grains grossiers - lithique, bien induré et immature.

QUARTZ BLANC avec des incrustations de PYRITE ( Massif de Perseigne ) - Le QUARTZ est l'un des minéraux les plus répandus, 12% de la «  coûte terrestre », il est composé d'oxygène et de silicium.

FAVOSITES GOTHLANDICUS a été défini par LAMARCK en 1816

embranchement : Cnidaires
classe : Anthozoaires
ordre  : Tabulés
familles : Favositidae

 

ARCHAEOCRINUS DESIDERATUS a étédéfini par BILLINGS en 1885 

embranchement : Echinodermes
classe : Crinoïdes
ordre  : Isocrinides

TRILOBITES

PTERYGOTUS ANGLICUS a été défini par AGASSIZ en 1849  - -  

embranchement : Merostomes
classe : Eurypteridae
ordre : Giganstrodaces
famille : Pterygotidae

 

EURYPTERUS LACUSTRIS
embranchement : Artropodes
classe : Merostomes
ordre : Eurepterides
famille :

Terres émergées à l'Ordovicien.

L4Ordovicien en Sarthe reste difficile à détecter.

STROMALITE - structure sédéminentaire par la capture des SEDIMENTS liés par de MICRO-ORGANISMES.

ASTERIES sp. - ORDOVICIEN - du grec : aqter signifiant étoile ; et dos précisant forme ; groupe ancêtre des étoiles de mer

BRYOZOAIRES a été défini par BROWN en 1849

CEPHALODISCUS GRAPTOLITOIDES a été défini par BROWN en 1849

embranchement : Invertébrés
classe : Graptolithes
ordre : Eurepterides
famille : Cephalodicae

Terres émergées au Silurien.

GRES ARMORICAIN, les rides d'oscillations indiquent une sédimentation en mer peu profonde.

 

Le SILURIEN , couvre approximativement ; hectares dans l’Ouest du département Les grès Armoricain, présent dans le département de la Sarthe plusieurs  strates dont la plus Septentrionale dans le Massif de Perseigne culmine à =340 m.  Les plus anciens fossiles que nous avons découverts, sont datés du Cmabrien, et du Silurien -570 M.a. . Ils ont été découverts d’affleurements et dans des plissements du terrain, dans la , dans la région d’Assé-le-Boisne. Sil’ASAPHUS a été rencontré sur Saint-Léonard-des-Bois , les SCOLITHES et les LINGULES, c’est dans le Massif Silléen, qu’il est possible d’en trouver.
C’est dans ces masses schisteuses, que l’on a découvert les premières traces de vie organisée dans le Sarthe : les LINGULES, dans la région d’ASSE-le-BOISNE.
Qui forme principalement le Nord-ouest et l’Ouest du département, représente l’étage SILURIEN, il est connu pour ses GRES et ses SCHISTE ROUGE, au-dessus de SCHISTES à CALYMENE.
Le GRES ARMORICAIN correspond souvent dans notre région au GRES à SCOLITHES ou GRES /GNEISS à BILOBITES.

Le trilobites ASAPHUS ARMORICANUS ont  été trouvés dans  les strates d’ardoises supérieurs aux SCHISTES à CALYMENES.

SCOLITHUS LINERALIS - Forêt de Sillé-le-Guillaume - réf. volume 1 - page - 2 - 1844

Pistrs laisséespar les TRILOBITES

ASAPHUS ARMORICANUS a été défini poar BRONGNIART en 1822

embranchement : Arthropodes
classe : Trilobites
ordre : Asaphides
famille : Asaphidae

ASAPHUS LATUS DORSOLATERALAsaphus_latus_dorsolateral    

ASAPHUS PUNCTATUS - Ordovicien

CALYMENE a été défini poar BRONGNIART en 1822

embranchement : Arthropodes
classe : Trilobites
ordre : Calymèidae
famille : Calyménides

PYGIDIUM  de TRILOBITES

Qui forme principalement le Nord-ouest et l’Ouest du département, représente l’étage SILURIEN, il est connu pour ses GRES et ses SCHISTE ROUGE, au-dessus de SCHISTES à CALYMENE.
Le GRES ARMORICAIN correspond souvent dans notre région au GRES à SCOLITHES ou GRES /GNEISS à BILOBITES.
Le trilobites ASAPHUS ARMORICANUS ont  été trouvés dans  les trates d’ardoises supérieurs aux SCHISTES à CALYMENES.
C’est ainsi, que l’on trouve aux confins Nord-est du département de laMayenne, et Nord-ouest de celui de la Sarthe, géographiquement sur le rebord Oriental du : « Massif de Pail » en une région dénommée les «   Alpes Mancelles » ; très exactement entre Saint-Léonard-des-Bois et Gesvres, des affleurements de SCHISTES ARGILEUX, très micacés, vraisemblablement au contact du GRANIT. De précieux témoins des fossiles : «  CALYMENE TRISTANI ».

Terres émergées au Dévonien.

Dans les CALCAIRES et les SCHISTES du Sud-ouest du département de la Sarthe, dans un talus où affleure des schistes du DEVONIEN. Dans le  «  Creux » entre «  La Lune de Joué »  et « Saint Denis-d’Orques », des fossiles du SILURIEN INFERIEUR ( -440 à -420  M.a. témoignent . Les bassins de schistes avec ANTHRACITES de AUVERS-le-HAMON,de BRULON et de VIRE se prolongent vers POILLE, et présente quelques affleurements.

 

PHACOPS LATIFRONS - Dévonien

PHACOPS POTIERI a été défini par AYLE

embranchement : Arthropodes
classe : Trilobites
ordre : Calymèidae
famille : Calyménides

MICASCHISTE - trois GRENATS sont incrustés dans le bloc - EOCHE METAMORPHIQUE à grains moyens, fortement foliée, contenant une importante quatité de MIC.

ROCHE de MICA - c'est un GROUPE de MINERAUX, formé de siicate en feuilles.

OOLITHE - Roche sédimentaire constituée d'ooides ( oolithes ) fortement cimentés ensemble. Les OOLITHES sont formés de carbonate de calcium - ce sont des grains sphéroïdaux avec un noyau et un cortex accrété autour de lui.

OOLITHES  - Macro-photo prise avec la caméra d’un binoculaireEuromex-NexiusZoom-NZ-1903-S-ESD-6-7x-to-45x-rack-and-pinion-3-W-LED-ESD-trino.

OOLITHES ferrugineuses - GOELITHE

OOLITHES FERRUGINEUSES - Macro-photo prise avec la caméra d’un binoculaireEuromex-NexiusZoom-NZ-1903-S-ESD-6-7x-to-45x-rack-and-pinion-3-W-LED-ESD-trino.

Minerai de fer exploité jadis dans la Grande Charnie à Saint-Denis- d’Orques - Ce FER rubané est une roche sédimentaire qui s’est chimiquement formé sur le fond marin.

HEMATITR - Roche sédimentaire riche en fer.

SCHISTE ROUGE - PORPHYROBLASTE.

QUARTZITE - en tant que GRES METAMORPHOSE.

Les CALCAIRES avec concrétions siliceuses comme à JUIGNE, est extrait pierre à chaux grasses, pour les agriculteurs. Lles fossiles sont assez nombreux dans certains bancs. Un affaissement du plancher de base s’étant produit à l’Ouest de notre département, des dépôts argileux et calcaires à Pecten, on peut citer vers BRULON - CHASSILLLE - PRECIGNE, des bancs de nids à POUDINGUES ave BARYRTINE et GALENE. 

TOURMALINE - est une pierre dite précieuse, a structure cristalline hexagonales, avec des stries parallèles caractéristiques. C’est une pierre dure utilisée en joaillerie.

GALENE - est un SULFURE. Formule chimique Pb5 - contient : 86,6de plombe, et 13,4 de soufre - dureté : 2,5 - densité : 7,2 à 7,6 - impuretés : traces de Ag. - Bi. - Se. - Te. - Cu. 

FER des TOURBIERES ou des MARAIS - Type de minerai de fer composé de LIMONITE avec des impuretés, comme de l’ARGILE et des débris de végétaux.

TUF - CALCAIRE tendre et poreux - Roche volcanique.

Prés de BRÛLON, le DEVONIEN inférieur est très fossilifère dans ses différents affleurements de SCHISTES et de  CALCAIRES, et repose sur du SILRIEN SUPERIEUR, et couvre 3.200 hectares. Le pli formé Sud-ouest - Nord-est de très CARBONIFERE / ANTRAXIFERE.
En général dans la Sarthe les SCHISTES succèdent aux GRES, et sont coincés entre ceux-ci et la masse CALCAIRE. Ce calcaire joue un rôle important c’est lui qui supporte les bancs d’ ANTHRACITE, couvrant 2.800 hectares.

 

 

Terres émergées au Carbonifère.

Le CARBONIFERE soit 65 M.a., est marqué par la surrection progressive du Massif Hercynien / Armoricain, et couvre 2.800 hectares, dans la Sud-ouest du département de la Sarthe. Elle se concrétise dans de nombreuses modifications des terrains de la région de Sablé, tant sur la faune que sur la flore.

ASTEROPHYLITTES défini par SCHLOEMME en 1820 

embranchement : Cryptogames
classe : Stenophytes
ordre : Equiisetales 
famille : Calamitacae

ANNULARIA  STELLATA - SCHOTEN - 1804 - 10 à 20 feuilles verticilles, spatulées et longues de 3 à 12 mm. -  
embranchement : Cryptogames 
classe : Stenophytes
ordre :  Equisetales
famille : Calmitacae

PECOPTERIS POLYMORPHA a été défini par BRONGNIART -  
embranchement : Cryptogames
 classe : Phylicophytes
ordre : Mariattialls
famille : Ptecopteridacées

NEUROPTERIS TENUIFOLIA a été défini par SCHLOTHEIM - Pinnules arquées et acuminées au sommet assez variables

embranchement : Cryptogames
classe : Pteridospermaphytes
ordre : Permaphytes 
famille : Neuropteriace

Moceau de BOIS fossilisé

Fragment de branche d'un ARAUCARIA et sa POMME silicifiés en cours de fossilisation.

Coin des étagères de la Lithothèque

ORTHOCERAS

TRONCHOCERAS LORIERI   a été défini par BARRANDE en 1874 ; et ORTHOCERAS CALAMITEUM par 
d’ORGIGNY .

Petite récolteCd'ORTHOCERAS.

Empreintes de BRANCHIOSAURUS, sur schiste.

ANTHICHNIUM SALAMANDROIDES -
Empreinte des doigts griffus d’une patte avant.

BRANCHIOSAURUS FAYOLI - a été défini par THEVENIN en 1906

embranchement : Protriton
classe : Amphibiens 
ordre : Temnospondyli
famille : Branchiosauridae

BRANCHIOSAURUS PETROLEI - a été défini par GAUDRY en1875 

embranchement : Chorata 
classe : Amphiobiens
ordre : Temnospondyli
famille : Branchiosauridae

Terres émergées au Permien.

Le cycle de l’ère Primaire -  Paléozoïque se termine avec le PERMIEN, dont la durée de 50 M.a., est non négligeable. Les afflleuements dans la Sarthe sont n’existent pratiquement pas.

Les CHISTES cuivreux renferment une quantité de poissons,

dans les CALCAIRES on découvre de nombreux débris de reptiles

Ensemble d'ossements : crânes dont un avec mandibules - vertébres dorasales d'un reptile.

Ensemble  de vertébres de PRISTICHAMPSUS ROLLINATI  par GRAY - Barthonien.

 

                                                                             25 MARS 2022     

                                                                                 Agé

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